À la suite d’un concours de circonstances hautement improbable, une fouine opportuniste portée sur le cambriolage, Weasy, se retrouve à couver les derniers instants d’un gros œuf.
Deux petites canettes jumelles en sortent en piaillant – et reconnaissent naturellement Weasy comme leur papa.
Weasy, le cambrioleur immature aux goûts de teenager se retrouve catapulté dans le rôle de père – un rôle qu’il n’avait pas anticipé et pour lequel il n’est pas du tout prêt.
Tout juste sorties de l’oeuf, les deux canettes débordent de l’énergie et de l’enthousiasme de la jeunesse – et elles sont totalement craquantes. Si l’une des deux soeurs semble un peu plus capable de concentration que l’autre, assez maladroite, toutes deux sont très créatives, observatrices et ont cent idées à la seconde.
Avec elles, Weasy découvre un nouveau sens à sa vie. Plus que l’accumulation de biens ou de denrées dérobées aux humains, ce qui l’intéresse, désormais, c’est le bien-être de sa progéniture.
En bon papa fouine, Weasy est toujours prêt à se plier en quatre pour faire plaisir à ses filles – du moment qu’elles suivent le code de conduite des fouines et n’oublient pas, par exemple, de s’essuyer les pieds sur le paillasson avant de cambrioler la ferme voisine.
Et ce que les jumelles apprécient le plus, dans leur vie quotidienne, c’est qu’il y a toujours des surprises inattendues. Avec leur papa, toutes les expériences ont tendance à se transformer en dérapage très peu contrôlé !
Est-ce que les canettes sont dotées d’un sixième sens ? Elles ont en tout cas une baraka étonnante, tandis que Weasy, lui, semble abonné au mauvais karma.
Heureusement, la nature squash & stretch de Weasy lui permet d’encaisser les chocs, revers et autres tuiles avec une résilience hors du commun dans des séquences d’action de haute volée qui renforcent encore, si c’est possible, les liens de la famille Weasy !